racoons

Qui se situe de l’autre côté de la route de l’accrobranche. Normalement, je ne suis pas fan des zoo. Quand celui de Vincennes a ouvert, je n’y suis pas allée. Je suis même un peu contre le fait qu’on enlève les animaux de leur milieu naturel pour les mettre en cage. Et puis, quand je suis allée visiter la Wildlife Reserve de la Barbade, j’ai compris qu’il peut être nécessaire pour la survie de certaines espèces de s’en occuper.

Le zoo de Guadeloupe fait partie de ces acteurs qui ont un programme de conservation et de protection des animaux avant de les réintroduire. Une fois que j’ai su que le zoo était « éthiquement responsable », j’ai été moins réticente à aller le visiter.

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Dans la jungle du zoo

J’ai aimé

Les racoons : ils sont vifs et ont envie de communiquer avec nous, c’est attachant;
La conception du zoo 100% naturelle. On est en forêt et on se promène sur des structures en bois tout le long;
La balade dans les arbres Canopée, qui m’a rappelée l’accrobranche.

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Un racoon !

J’ai moins aimé

La taille du scolopendre du zoo (les animaux les plus redoutés de Guadeloupe, pas mortels mais leur piqûre est hyper douloureuse) : j’espère que c’était la dernière fois que j’en croisais un de cette taille.
Apprendre qu’il y avait des scorpions sur l’île. Ils ont beau être petits et sans danger pour l’homme, ça m’ennuie de connaître leur existence parmi nous.
L’accueil qui nous a été réservé. Notre vendeuse de billets était en grande conversation avec sa collègue; on l’a dérangée, elle nous l’a fait comprendre…